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Les 5 erreurs les plus fréquentes des dirigeants de TPE (et comment les éviter)

  • Photo du rédacteur: Véronique Callens
    Véronique Callens
  • 4 sept.
  • 2 min de lecture



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Être patron d’une TPE, ce n’est pas gérer une multinationale. C’est avancer chaque jour dans un environnement mouvant, avec peu de marge de manœuvre et beaucoup de responsabilités.Ce blog, je le construis comme un parcours évolutif : article après article, tu vas progresser dans ta posture de dirigeant. Aujourd’hui, on commence par les bases : les erreurs que je vois partout, dans toutes les petites entreprises, et qui coûtent cher si on les laisse s’installer.

Erreur n°1 – Vouloir être copain avec tout le monde

Tu veux une bonne ambiance, tu veux éviter les conflits… mais à force de trop copiner, tu perds ton autorité. Résultat : plus personne ne t’écoute vraiment.

Réflexe à adopter : reste cordial, mais fixe des limites claires dès le départ.

Erreur n°2 – Ne pas recadrer tout de suite

Un retard, une remarque déplacée… tu laisses passer “pour ne pas faire d’histoires”. Mauvaise idée : le problème gonfle et explose plus tard.

Réflexe à adopter : intervenir rapidement, avec des mots simples, avant que ça ne s’installe.

Erreur n°3 – Penser que les salariés travaillent pour l’entreprise

Ils travaillent d’abord pour eux-mêmes (et c’est normal). Ton rôle, c’est de cadrer pour que leurs intérêts et ceux de la boîte se rejoignent.

Réflexe à adopter : accepte cette réalité et construis ton management en conséquence.

Erreur n°4 – Déléguer sans vérifier

Confier une tâche et penser que “c’est réglé” → mauvaise surprise assurée.

Réflexe à adopter : déléguer, oui, mais avec un suivi concret et des points de contrôle réguliers.

Erreur n°5 – Attendre que ça s’arrange tout seul

Le conflit, la démotivation, l’absence de résultats… ça ne disparaît pas par magie.

Réflexe à adopter : affronte les sujets, même si c’est inconfortable. Ton rôle de patron, c’est de trancher.

Conclusion

Ces erreurs, je les ai vues dans toutes les TPE, quel que soit le secteur. Les éviter ne demande pas de grandes théories RH, juste du concret, de la cohérence, et le courage de poser des limites.

Et ce n’est que le début : poser des limites est essentiel, mais comment le faire sans passer pour un tyran ?

C’est exactement ce qu’on va voir dans le prochain article.

 
 
 

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